Tzatziki, tapenades, tartinables de légumes ou de la mer remplacent avantageusement le beurre et la mayonnaise. Une bonne alternative pour apporter plus de saveurs, de variété et d’équilibre aux sandwichs à emporter. Parmi les avantages, la tartinabilité permet de maîtriser le coût par portion grâce à des conditionnements spécialement étudiés. Pour rompre la monotonie, les tartinables d’aujourd’hui proposent des ingrédients nutritionnellement intéressants : champignons, légumes – parfois fermentés –, légumes secs (pois chiches, haricots rouges), oléagineux (olives, noisettes, pistaches)… L’offre s’avère de plus en plus variée, tant sur les recettes et les goûts que sur les formats.
Les fabricants travaillent par ailleurs sur la qualité, l’origine et la traçabilité des produits et proposent des nouveautés bio, veggies et anti-gaspi. Houmous, olivade, tomatade, poivronnade, crème au piment d’Espelette : le régime méditerranéen, tant vanté pour ses atouts santé, a particulièrement la cote. Parmi les exemples, on trouve chez Class’croute : l’Ensolleillé, qui prend pour base un fondant d’artichaut, et la Mutine un pesto. Chez l’enseigne lyonnaise Jean Bonbeur, on mise sur l’écrasé de potimarron, les rillettes de carotte ou le pralin de noix. Côté fournisseurs, on trouve aussi de belles créations, comme l’astucieuse Avocanaise (Snacking d’Or 2020), à mi-chemin entre une sauce et une purée de fruits d’avocat.
Explosion du snacking chaud oblige, la tenue des produits à divers niveaux de température constitue un argument de vente déterminant. Ainsi, les mentions « usage à chaud comme à froid », « tartiner et cuisiner »… s’affichent désormais sur les packagings. Poêlé, grillé ou rôti, le tartinable doit pouvoir se glisser dans tous les pains chauds.
Avec leur base assez neutre, les tartinables au fromage laissent libre cours à la créativité. Une même base fromagère donne naissance à des sandwichs variés : légumes, fruits à coques, fruits de saison, produits carnés ou de la mer… Les tartinables à base de fromage de chèvre ou de brebis marchent d’autant mieux qu’ils représentant des alternatives au fromage de vache. Chez les fabricants, la R&D est toujours en quête d’une stabilité organoleptique et de la texture parfaite, ni trop dure ni trop liquide, en vue d’un étalage facile en un seul geste. Sans dénaturer le pain ou favoriser le détrempage, souvent problématique.
Les tartinables à base de fromage de chèvre ou de brebis marchent d’autant mieux qu’ils représentant des alternatives au fromage de vache. Chez les fabricants, la R&D est toujours en quête d’une stabilité organoleptique et de la texture parfaite, ni trop dure ni trop liquide, en vue d’un étalage facile en un seul geste. Sans dénaturer le pain ou favoriser le détrempage, souvent problématique.
Eurial en fait des tartines
Avec SOIGNON, Eurial décline le fromage de chèvre sous toutes ses formes, notamment en versions tartinables. Parmi les références, on trouve le Tost’O’Chèvre 750 g au goût typé de chèvre et à la texture lisse, homogène et fondante en bouche.
Les 300&bio, toujours chez Eurial, ont lancé le tartinable au basilic infusé, issu de l’agriculture biologique, au lait de vache crémeux réalisé par un processus d’infusion novateur.